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G2I3F investit dans l'avenir,
NOTRE AVENIR
Au travers de VOSGES AGRICULTURE (créé en avril 2014), G2I3F investit dans l'avenir en investissant dans l'économie agricole et touristique.
Depuis près de 10 ans, G2I3F cherche à se diversifier en investissant dans l'avenir car le monde agricole n'est
certainement pas prometteuse de rendement mirifique, mais il n'y a rien de plus beau que de contempler la
beauté de notre environnement. Nous avons la chance de vivre dans un pays au QUATRE SAISONS. Il est vrai qu'actuellement nous avons beaucoup de mal à les dicerner. D'ailleurs notre nature, elle même, ne comprend plus grand chose. Les arbres ont des feuilles très tardivement, certaines plantes se remettent même à fleurir en
plein hiver sans avoir eu le temps de souffler, voir subissent les gelées hors période.
VOSGES AGRICULTURE est une activité agricole sur la commune de GRANGES SUR VOLOGNE qui s'investit
dans l'environnement au travers d'investissement qui ont pour but UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE. Mais qu'est ce
que cela veut donc dire? VOSGES AGRICULTURE a décidé de n'utiliser aucun produit phytosanitaire donc son
économie risque d'en subir les contres coups. D'autant que son activité principale est l'arboriculture.
A cet occasion, nous nous investissons également dans l'apiculture, qui, souaitons le, nous sera profitable, mais également à tout son environnement. Ce désir de ne pas utiliser de produit est également une garantie pour
la santé de nos petits pollinisateurs et pour garantir une production de miel avec un risque moindre pour le consommateur. Nous ne pouvons pas garantir que les abeilles n'iront pas voir les fleurs au-delà de nos limites.
En attendant, rares sont les cultures aux abords directs. Une très grande partie des terres servent à produire du foin, donc présence de très nombreuses fleurs. Sans oublier que nous sommes en lisière de forêt et que là aucun produit sanitaire n'est pulvérisé.
Enfin, la forêt fait également parti de nos investissements au travers de BOIS ET FORÊTS DES VOSGES (sept. 2014). Nous avons décidé de la gérer en futaie irrégulière ou jardinée. Il peut y avoir une coupe rase sur une parcelle qui n'avait jamais été entretenue et où les arbres sont dépérissants, donc peuvent également devenir dangereux pour le citadin qui cherche à profiter de ces lieux paisibles. C'est également un moyen d'apporter une rentrée d'argent pour réinvestir sur son avenir. On croit en la forêt non pas pour l'apât du gain car ce qui est planté aujourd'hui (au travers d'un travail qui peut-être pénible) ne deviendra bénéfique que dans un minimum de 40 ans, voir bien plus pour le chêne. Le travail d'aujourd'hui concerne notre AVENIR. En aucun cas, le labeur d'aujourd'hui nous permettra d'en vivre, mais quoi de plus beau que de passer une grande partie de notre temps dans une nature où nous pouvons la contempler, grandir d'année en année. Sans oublier que nous profitons également des chants de la nature produits par la multitude d'oiseaux.
Mais voilà, vivre avec une forêt, gérer des ruches c'est également celle de vivre avec une nouvelle famille,
il nous faut être à l'écoute, être attentif de leurs maux. Et oui, l'être humain émet des sons pour se faire entendre
et éventuellement informer sur ses problèmes, ce qui n'est pas le cas de notre environnement. Diverses maladies
attaquent nos arbres ou nos ruches et c'est notre attention qui pourra éventuellement détecter leur détresse
et ainsi chercher les raisons de leurs sympthomes pour leur apporter les soins nécessaires à leur rétablissement.
Malheureusement, parfois, nous serons dans l'obligation d'être sans merci pour protéger l'environnement, sachez
que nous ne le faisons pas de guaieté de coeur. Certaines maladie de la ruche peuvent nous amener à détruire
totalement l'essaim ainsi que le matériel afin que la maladie ne se propage pas. Tout comme en forêt, certains
dépérissement peuvent amené à effectuer des coupes sanitaires dans l'espoir de protéger son entourage.
2023 aura vu la mise aux normes, concernant le traitement des eaux usées, du bâtiment . Les fouilles auront permis de prévoir la pose, également, d'évacuations des eaux pluviales dans le but de les récupérer dans une citerne enterrée (2024). Celle-ci devra permettre l'arrosage, mais également l'alimentation des toilettes.